Enfants réalis&eacut...
Les carmélites vous présentent :
Il s'agit d'un petit livret d'un peu plus de 40 pages, de format
A 5, avec quelques illustrations en noir et blanc, réalisées à partir des photos personnelles des sœurs ou de leurs amis.
Un conte « futuriste » (ou du moins fantaisiste)
qui se passe quelques siècles après le nôtre,
conte destiné essentiellement aux jeunes
qui aiment ce genre de littérature, pense-t-on.
(Mais que les moins jeunes peuvent aimer aussi !)
Deux jeunes découvrent un monde inconnu, le nôtre !
(Vraiment ? n'est-ce pas plutôt, déjà aujourd'hui, un monde quelque peu « du passé » ?)
Pas grand-chose, direz-vous… Tout juste pour se distraire…
Et cependant…
Les sœurs sont conscientes des questions essentielles qui peuvent se poser aux jeunes d'aujourd'hui :
Vers quel monde, allons-nous ?
Où est notre joie ?
La tolérance de ceux qui sont différents, c'est quoi ?
Une indifférence polie, ou une joie de la rencontre ?
Sommes-nous prêts à payer le prix de nos choix, de nos amitiés, de notre bonheur ?
… Ces questions, et bien d'autres, sont celles que se posent les héros de ce conte,
Inno et Ouri, deux jeunes de « la Bulle » - monde « virtuel »,
monde protégé, organisé, « parfait », à l'occasion de leur rencontre avec le « monde réel »,
ce monde qu'on leur avait toujours présenté comme obsolète et dangereux.
Des questions qui peuvent être aussi les nôtres…

Carmel de Nevers
8 sœurs... Avec chacune son origine, son milieu, son tempérament, sa sensibilité, sa formation, ses petits défauts et ses très grandes qualités ! Notre Carmel fut fondé en 1619 par la 2° génération de Carmélites françaises. Les sœurs durent le quitter à la Révolution. Reconstitué au début du 19° siècle, il a dû quitter en 1966, le centre ville. Il est actuellement sur la hauteur, dans la rue des Montapins. Parmi nous, plusieurs sœurs ont choisi Nevers à cause de Sainte Bernadette. Notre communauté est maintenant composée pour la moitié, de sœurs venant de carmels fermés. Cette ‘pluriculture’ nous permet de vivre au diapason de tant de frères et sœurs en humanité. Notre vie quotidienne équilibre, dans le silence et la communion fraternelle : PRIERE et TRAVAIL … PRIERE dans le silence de l’oraison matin et soir, la célébration communautaire de la liturgie des heures, l’Eucharistie quotidienne et le recueillement tout au long de la journée.. TRAVAIL de la maison, de la cuisine à la lessive... et travail monastique artisanal : • cartes, signets... • icônes « écrites à la main » selon la tradition orientale • réalisation et restauration d’Enfants-Jésus en cire, A travers tout cela, nous vivons le Carmel selon l’esprit de Thérèse d’Avila avec l’Oraison pour centre et l’Apostolat spirituel pour horizon, creusant chaque jour la Parole de Dieu, vivant le partage fraternel en communauté, le service humble des sœurs et la prière « incarnée » pour tous les besoins de l’Eglise et de notre monde toujours « en feu », aujourd’hui comme au temps de Teresa, dans la confiance et l’action de grâce pour tous les dons du Seigneur et sa miséricorde pour chacun au long des jours.
